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les Etats Unis sont il à l'origine du fondement de la crise financiere ?

17 juin 2011

bibliographie

Sites internet

Quelles sont les causes de la crise financière mondiale ? samedi 27 septembre 2008. Disponible sur:http://www.politique.net/2008092703-quelles-sont-les-causes-de-la-crise-financiere-mondiale.htm

-Crise économique dite de la Grande récession (2008 et après). 11 juin 2011. Disponible sur :http://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_économique_dite_de_la_Grande_récession_(2008_et_après)

-Lafinancepourtous. Crise financière : comment s’est-elle amplifiée ? 10 octobre 2008

-       -Accueil - Crise-Economique disponible sur :http://crise-economique.com/accueil.html

-    -Plan de relance pour l'economie. 4 decembre 2008. disponible sur:http://www.gouvernement.fr/gouvernement/le-plan-de-relance-pour-l-economie

      -David Servenay. La fin de la crise économique ? Pas avant 2015. 13/02/2010

      disponible sur : http://eco.rue89.com/2010/02/13/la-fin-de-la-crise-economique-pas-avant-2015-138287     

      -Emilie Lévêque. Qui va payer le plan de relance mondial. 03/04/2009 disponible sur :http://lexpansion.lexpress.fr/economie/qui-va-payer-le-plan-de-relance-mondial_178582.html

                          

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16 juin 2011

plan de relance mondial

Les leaders du G20 sont prêts à mobiliser jusqu'à 1.350 milliards de dollars pour relancer l'économie mondiale. L'accord signé reste néanmoins très flou sur le financement et l'allocation de ce budget. Qui va payer ? Quelle sera la facture pour le contribuable français ?

Les dirigeants des 20 pays les plus puissants au monde, réunis jeudi 2 avril à Londres, ont décidé d'un commun accord d'injecter plus de mille milliards de dollars supplémentaires aux institutions financières internationales pour faire face à la crise et relancer l'économie de la planète.

Un chiffre à faire tourner la tête au contribuable lambda. En effet, qui va financer ce plan de soutien à l'économie mondiale ? Sur ce point, la déclaration commune adoptée par les participants du sommet de Londres reste très floue. Décryptage.

Les bénéficiaires de ces milliards de dollars

Le Fonds monétaire international dirigé par Dominique Strauss-Kahn est le grand gagnant de cette loterie. Les dirigeants du G20 se sont en effet mis d'accord pour tripler ses ressources, en les portant à 750 milliards de dollars contre 250 jusqu'ici.

Cette augmentation proviendra de la mise à disposition immédiate d'une ressource de prêts supplémentaires de 250 milliards de dollars, financée par ses Etats membres. Le solde (500 milliards) viendra des nouveaux accords généraux d'emprunt ou d'émission du FMI sur le marché. Le triplement de ses réserves permettra au FMI de faire face au nombre croissant de demandes de pays en situation de faillite financière, et notamment les pays de taille moyenne.

Les leaders du G20 ont également approuvé une allocation de DTS (droits de tirage spéciaux) supplémentaire pour une valeur de 250 milliards de dollars. Cette mesure va permettre de renflouer les liquidités internationales. Ces droits permettent «d'apporter de la liquidité à nos membres qui peuvent se les prêter entre eux. Ils leur servent de réserves », explique Dominique Strauss-Kahn.

Le G20 a également décidé de supporter l'augmentation de la capacité de prêt des banques de développement régionales, comme la Banque asiatique de développement ou son homologue africaine, à hauteur de 100 milliards de dollars. Ces institutions financières multinationales fournissent des prêts et de l'assistance technique à ses membres, notamment en finançant des projets de développement économique et social. 

Enfin, les dirigeants du G20 entendent assurer la disponibilité d'au moins 250 milliards de dollars sur deux ans pour financer les échanges commerciaux internationaux via les banques multilatérales de développement et les agences d'assurance-crédit à l'exportation. L'objectif est de garantir les risques d'impayés qui freinent aujourd'hui les échanges commerciaux mondiaux.

On arrive donc, au final, à un total de 1.350 milliards de dollars annoncés pour la relance économique mondiale.

Qui va payer ?

Aucune précision n'est apportée sur cette question dans le communiqué final du G20. Qu'il s'agisse des 250 milliards de dollars pour les agences d'assurance-crédit à l'exportation ou les 100 milliards pour les banques régionales, il s'agira vraisemblablement d'augmenter leur capacité de garantie des prêts octroyés. Est-ce que cela se fera via de la création monétaire, de l'endettement ou une meilleure allocation de leurs moyens ? Telle est la question. Selon Jérôme Creel, économiste à l'OFCE, il s'agira probablement d'une ré-allocation de budget qui ne génèrera pas de déficit.

L'injection de 250 milliards de liquidités supplémentaires sous forme de DST correspond à de la création de monnaie, comme cela avait déjà été fait lors des deux chocs pétroliers dans les années 1970 et 1980. Ces DST vont être transformés en monnaie réelle des pays qui en demandent. Il ne s'agit dans ce cas que de faire marcher la planche à billet. C'est sans douleur pour les contribuables.

Désormais, le FMI est donc autorisé à emprunter directement auprès d'Etats ou à émettre des obligations sur les marchés,  pour un montant total de 500 milliards de dollars. La Chine a ainsi déjà fait part de son intérêt à souscrire une émission obligataire que lancerait le FMI, tandis que le Japon a d'ores et déjà annoncé un prêt bilatéral au Fonds de 100 milliards de dollars en janvier. Dans les deux cas, il s'agit de prêts, assortis d'intérêts. L'Etat est dont garanti de récupérer son placement avec une plus-value - sauf faillite de l'économie planétaire.  

Au final, la seule somme tangible annoncée par le G20 est la mise à disposition immédiatement de 250 milliards de ressources de prêts supplémentaires. Le FMI reçoit ses ressources de ses pays membres par le biais du paiement de leurs quotes-parts, dont le montant dépend de la taille respective de leur économie. Ces règlement sont dus et ne sont pas des prêts. La France, dont le quote-part s'élève à 4,94%, va donc devoir prochainement verser 12,35 milliards de dollars au FMI. Soit 9,18 milliards d'euros.

 

 

Sources :http://lexpansion.lexpress.fr/economie/qui-va-payer-le-plan-de-relance-mondial_178582.html

 

Resumé : cette article de l’expresse presente le plan de relance mondial, ainsi que ceux qui vont payé.

16 juin 2011

plan de relance de la france

"La crise que nous traversons n'est pas une crise passagère. Cette crise structurelle va transformer pour longtemps l'économie, la société, la politique (...). Parce que la crise est forte, la réponse doit être forte (...). Notre réponse à la crise est un effort d'investissement massif". Axé sur l'investissement et les entreprises, ce plan de relance de l'économie d'un montant de 26 milliards vise à soutenir, sur les deux ans à venir, l'emploi dans les secteurs cruciaux de l'automobile et du logement.

Accélérer les investissements publics. Quelque 10,5 milliards d'euros d'investissements supplémentaires de l'Etat (4 milliards), des grandes entreprises publiques (4 milliards) et des collectivités locales (2,5 milliards) vont être mobilisés pour accélérer divers programmes d'équipements publics. Sont notamment concernés les équipements de défense, l'université et la recherche, la remise en état du patrimoine de l'Etat et les infrastructures routières, fluviales et ferroviaires.

La réalisation du canal Seine Nord Europe et la construction de quatre lignes de TGV sur la période de 2010-2014 font partie de ces investissements.

Soutenir le secteur de l'automobile. La prime à la casse fixée à 300 euros pour les particuliers qui mettront à la casse un véhicule de plus de 10 ans pour acheter un véhicule neuf non polluant passera à 1 000 euros. Elle sera étendue aux véhicules utilitaires légers. Coût estimé : 200 millions d'euros. De plus, l'Etat s'engage à ouvrir aux organismes de crédit une ligne de refinancement d'un montant de un milliard d'euros pour accorder des crédits aux acheteurs.

Les constructeurs automobiles et les sous-traitants bénéficieront d'un fonds d'investissement doté de 300 millions d'euros pour les aider à restructurer la filière.

Renforcer les entreprises. L'Etat remboursera début 2009 par anticipation leurs dettes aux entreprises à hauteur de 11,5 milliards : le crédit impôt recherche normalement remboursable sur trois ans sera reversé en une seule fois début 2009. Il en sera de même pour les crédits de TVA.

Mais le président de la République a précisé qu'"il n'y aura pas de sauvetage" d'entreprise "sans contrepartie", "pas d'aide sans engagement à ne pas délocaliser".

Stimuler l'emploi. Les entreprises de moins de 10 salariés bénéficieront d'une exonération de cotisations sociales jusqu'à 1,6 fois le Smic pour toute nouvelle embauche en 2009. Le coût estimé de cette mesure est de 700 millions d'euros. Le chef de l'Etat a rappelé que l'Etat financera à hauteur de 500 millions d'euros les mesures en faveur de l'emploi annoncées le 25 novembre à Valenciennes. Il s'agit, entre autres, de l'extension des contrats de transition professionnelle de 7 à 25 bassins d'emploi en difficulté. Pour la formation professionnelle, Nicolas Sarkozy a prévenu que faute d'accord entre les partenaires sociaux au 31 décembre, l'Etat prendra ses responsabilité et légiférera dès le début 2009.

Investir pour le logement. Le chef de l'Etat a annoncé la construction de 70 000 logements sociaux auxquels s'ajoute l'achat à un prix décoté par les bailleurs sociaux de 30 000 logements dont les travaux n'ont pas été lancés faute de certitude sur les ventes. Pour aider les Français à accéder au logement, le prêt à taux zéro sera doublé pour l'achat dans l'immobilier neuf. Au total pour la période 2009-2010, 1,8 milliard d'euros supplémentaires seront dévolus au logement.

Autre mesure : les contraintes liées au droit de l'urbanisme seront "temporairement et considérablement assouplies" avec une prorogation d'un an des permis de construire.

Soutenir les ménages modestes. Le Président a annoncé une aide spécifique pour les familles les plus modestes. Dans l'attente de la mise en œuvre du revenu de solidarité active, l'Etat versera à la fin mars 2009 une prime de 200 euros à quelque 3,8 millions de ménages modestes. Le coût de la mesure est estimé à 760 millions d'euros.

Alléger les procédures d'appel d'offres. Le seuil de passation des marchés publics sera réhaussé. Le niveau d'exemption totale de procédure sera remonté de 4 000 à 20 000 euros.

Ce plan de relance de l'économie sera conduit dans un programme dédié avec un budget spécifique, et un ministre sera chargé d'en suivre la mise en œuvre.

 

 

Source :http://www.gouvernement.fr/gouvernement/le-plan-de-relance-pour-l-economie

 

Resumer : Ceci est le plan de relance desstiner a la France et annocé par Mr SARKOZY.

16 juin 2011

L'ombre de la crise

 

16 juin 2011

les conséquences

Les conséquences

Entrée des pays en récession

  • Second semestre 2008 : Estonie, Lituanie, Irlande et Nouvelle Zélande.
  • Troisième trimestre : Japon, Suède, Hong Kong, Singapour, Italie, Turquie et Allemagne. 15 pays utilisant l'Euro sont entrés en récession au troisième semestre. Par ailleurs l'Union Européenne, les pays du G7 et tous les pays de l'OCDE ont eu une croissance négative au troisième trimestre
  • Quatrième trimestre : États-Unis, Royaume-Uni, Espagne, la Suisse et Taiwan.
    • Des sept plus grandes économies en termes de PIB seules la Chine et la France ont évité une récession en 2008. Dans l'année qui va jusqu'au troisième trimestre 2008, la Chine a connu une croissance de 9% (jusqu'à une date récente, une croissance de 8% était considéré comme le minimum nécessaire pour absorber la main d'oeuvre qui quittait la campagne pour la ville).
  • L'Ukraine est en dépression depuis janvier 2009 avec une baisse du PIB de - 20%.

Commerce international et production industrielle

À la mi-octobre 2008, le Baltic Dry Index qui permet d'évaluer l'activité maritime a baissé de 50% en une semaine alors que le resserrement du crédit rendait plus difficile l'obtention de lettres de crédit par les exportateurs.

En février 2009, The Economist annonçait que la crise financière avait conduit à une crise de la production industrielle. Les plus fortes baisses d'activité se situant dans les pays tournés vers l'exportation.

En mars 2009, le journal britannique Daily Telegraph rapportait que de janvier 2008 à janvier 2009, la production industrielle avait chuté de : 31% au Japon, 26% en Corée du sud, 16% en Russie, 15% au Brésil, 14% en Italie, 14% en Allemagne.

Quelques analystes soutiennent même que nous serions entrés dans une période de démondialisation et de protectionnisme après des années d'intégration économique croissante.

Les fonds souverains et les investisseurs privés du Moyen-orient et d'Asie (y compris la Chine) achètent de façon croissante des parts de sociétés européennes ou américaines y compris dans le domaine industriel. En effet, suite à la récessions elles sont à des prix très abordables. Le gouvernement chinois s'est particulièrement intéressé au secteur des ressources naturelles partout dans le monde dans le but de sécuriser son approvisionnement en pétrole et minéraif.

Emploi

Pour l'organisation internationale du travail (OIT) au moins 20 millions d'emplois devraient être perdus d'ici fin 2009 et le nombre de personnes au chômage dans le monde devrait atteindre environ 200 millions de personnes. Les principaux secteurs touchés seraient : le bâtiment, l'immobilier, les services financiers et le secteur automobile. Si la récession s'intensifie, le nombre de personnes sans emploi devrait croître de 50 millions selon les prévisions de l'OIT.

En novembre 2008, l'OCDE a publié des estimations et prévisions selon lesquelles plusieurs pays membres (entre autres la Zone euro, les États-Unis et le Japon) connaîtraient en 2009 une montée du chômage, le nombre de chômeurs dans l'ensemble des pays de l'OCDE passant de 34 millions à l'automne 2008 à 42 millions en 2010.

Dans les Perspectives pour l'emploi publiées en septembre 2009, l'OCDE que depuis fin 2007, les pays membres de l'organisation avaient vu le nombre de chômeurs progressé de quinze millions de chômeurs et prévoit dix millions de chômeurs dans les mois qui viennent.

Voyages et tourisme

Selon Zagat'z 2009 U.S. Hotels, Resorts & Spas survey, les voyages d'affaires ont décru l'an passé suite à la récession. 30% des personnes interrogées déclaraient voyager moins pour affaire tandis que seulement 21% affirmaient voyager plus. Les raisons de ce déclin incluent des changements de la politique des entreprises dans ce domaine, l'incertitude économique, et les prix élevés du transport aérien. Les hôtels répondent à cette baisse par des promotions et des négociations avec les hommes d'affaires et les touristes.

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_économique_de_2008-2010

Resumer: les concequance de cette crise on été ressentie sur plusieur point.

En premier lieu le commerce international et la procution industriel, vien ensuite l’emploi avec un ressencement d’environ 200 millions de personne au chomage.

Pour finir le tourisme ainsi que les voyange sont en baisse notament au niveau des voyage d’affaire.

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16 juin 2011

crise economique de 2008, les causes

La crise économique de 2008-2010 appelée souvent dans le monde anglophone Grande Récession (Great Recession) est une récession dans laquelle sont entrés la plupart des pays industrialisés du monde suite au krach de l'automne 2008, seconde phase de la crise financière de 2007-2010. Les États-Unis ont été les premiers à entrer en récession, en décembre 2007, suivis par plusieurs pays européens au cours de l'année 2008, ainsi que la zone euro dans son ensemble. La France n'entre en récession qu'en 2009. Cette crise économique mondiale est considérée comme la pire depuis la Grande Dépression.

Les causes

Débat sur les origines de la crise

L'endettement des américains et la bulle immobilière

Les prêts hypothécaires américains ont été, à l'été 2007, l'élément déclencheur de la crise financière qui a entraîné la crise économique de 2008-2010. Ce qui pousse certains économistes à placer l'origine de la crise dans l'endettement des agents économiques américains.

S'ils n'ont pas à eux seuls provoqué une crise d'une telle ampleur, les prêts hypothécaires à risque (subprime) ont été l'élément qui a déclenché le mouvement touchant tout le système financier déjà fragilisé par :

  • le transfert des actifs des banques au marché,
  • la création d'actifs complexes et opaques,
  • l'incapacité des agences de notation à évaluer les risques des actifs,
  • l'application de normes comptables dite de « fair value »,
  • enfin, selon certains, les défaillances des régulateurs et des superviseurs à corriger les failles.

Les déséquilibres de la balance commerciale américaine

Une partie de la crise économique viendrait du déséquilibre de la balance commerciale américaine et de l'excédent chinois – qui pousse les États-Unis à emprunter massivement aux chinois, mais aussi aux Japonais et aux pays producteurs de pétrole. Autrement dit, « une partie de la crise est due au déséquilibre entre une Amérique qui dépense et emprunte trop et une Chine qui consomme et importe trop peu ».

La non-régulation des produits dérivés

Le 15 octobre 2008, Anthony Faiola, Ellen Nakashima et Jill Drew ont écrit un long article dans The Washington Post intitulé « What Went Wrong ». Dans leur enquête, les auteurs soutiennent qu'Alan Greenspan (Ancien président de la Réserve fédérale des États-Unis), Robert Rubin (Ancien Secrétaire du Trésor) et Arthur Levitt (Ancien président de la SEC) se sont opposés avec force à une régulation des instruments financiers connus sous le nom de produits dérivés. Ils ajoutent que Greenspan a cherché à saper les efforts de la Commodity Futures Trading Commission quand, sous la direction de Brooksley E. Born, elle a cherché à réguler les dérivés. Finalement, c'est ce type de produits qui aurait conduit à la crise économique.

La baisse des taux directeurs de la Fed

Une autre théorie, avancée par des représentants de l'École autrichienne d'économie, accuse la décision d'Alan Greenspan de baisser les taux directeurs de la Fed à 1% pendant un an. Cette politique aurait engendré un montant énorme de prêts qui aurait conduit à un boom insoutenable.

Cependant, certains considèrent que l'action de Greenspan dans les années 2002–2004 a été motivée par la nécessité de sortir l'économie américaine de la récession qui a suivi, au début des années 2000, l'éclatement de la bulle Internet. Ce faisant, il n'aurait pas pu éviter la crise mais l'aurait seulement retardée.

 

 

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_économique_de_2008-2010

resumer: Se document annonce quelle on été les causes qui on engendré cette crise économiques.

16 juin 2011

Crise financière : comment s’est-elle amplifiée ?

Auteur : Lafinancepourtous

La titrisation

Le déclencheur de la crise se situe donc dans un sous-compartiment du marché immobilier américain, e sous-compartiment du crédit hypothécaire à taux variable subprime. Les établissements spécialisés dans le crédit « subprime » ont été directement et logiquement touchés. Mais c’est la mutation opérée depuis une quinzaine d’années avec ce que l’on appelle la titrisation ( d’une façon générale, c’est le fait d’incorporer une créance dans un titre) qui permet de comprendre pourquoi et comment la contagion s’est opérée.

Qu’est ce que la titrisation ?

La titrisation consiste à transformer des crédits distribués par une banque en titres de créances (obligations) qu’un investisseur peut acheter et vendre à tout moment. On dit que ces obligations sont adossées à un portefeuille d’actifs. Les banques émettrices des crédits créent des sociétés intermédiaires dans lesquelles ces crédits constituent les actifs (plus couramment, l’ensemble des biens corporels ou incorporels d’une personne physique ou morale) et qui émettent en contrepartie des obligations qui constituent le passif.

Les intérêts et les remboursements des crédits servent au paiement des intérêts des obligations émises et à leur remboursement. Ces sociétés sont appelées SPV pour « Special Purpose Vehicule » ou « Véhicule spécial », car elles n’ont pas d’autre objet social et sont créées au cas par cas..

Les avantages perçus de la titrisation

Banques

Les banques ont mutualisé leurs risques en les dispersant, ce qui est un réel avantage. Par contre, comme inconvénient, plus personne ne sait vraiment qui détient le mistigri, en l’occurrence, les crédits, et à quelle hauteur.

Sans vouloir se répéter , mais dans le souci de mieux expliquer, on doit retenir que l’avantage pour la banque est qu’elle n’a pas à porter les crédits. Elle les sort de son bilan. Elle n’a pas à constituer un capital en réserve pour le cas où des difficultés de remboursement se présenteraient (règles prudentes concernant les fonds propres), et peut plus facilement consentir de nouveaux crédits.

Investisseurs

Concernant les investisseurs qui achètent ses titres (il peut s’agir de ces mêmes banques ou d’autres banques, de fonds de pension, de hedge funds etc…) ils peuvent espérer un très bon couplage rendement / risque sur les obligations.

L’évonomie en général

Avantage pour l’économie en général, les risques pris à l’origine par la banque sont reportés sur un plus grand nombre d’investisseurs. En cas de choc, celui-ci est en principe mieux absorbé. Cette mutation de la titrisation a ainsi permis le financement de la forte croissance des Etas-Unis et de l’ensemble du monde après la sortie de la crise boursière des valeurs « internet ». Mais pourquoi le système a-t-il grippé et pourquoi le choc, au lieu d’être amorti, a-t-il été amplifié ?

Les raisons de l’amplification de la crise

1ère raison : L’aléa moral

Avec la titrisation la vigilance des banques et des courtiers immobiliers qui ont initié les crédits aux ménages a été moins importante sur la capacité de ces derniers à rembourser correctement leur emprunt. Les banques qui « titrisent » portent moins les crédits. Elles se rémunèrent à la commission, puis revendent le crédit. Elles font de la quantité et peuvent être moins regardantes sur la qualité. Ce qu’on appelle l’aléa moral.

L’aléa moral consiste dans le fait qu’une personne ou une entreprise assurée contre un risque peut, de ce fait, se comporter de manière plus risquée que si elle était totalement exposée au risque. Exemple : si le propriétaire d’un vélo qui s’assure contre le vol réduit la taille des anti-vols au prétexte que si son vélo est volé il sera remboursé, il fait jouer l’aléa moral.

Dans le cas des banques, se considérant comme non pénalisées en cas d’imprudences dans leur opérations, elles prennent plus de risques lors de l’octroi de crédits ou de l’exécution d’opérations de marché. Le cadre de la réglementation et de la régulation des activités bancaires et d’assurance s’efforce d’empêcher de tels mécanismes.

Mais il peut parfois perdre de son efficacité. Ainsi, la politique monétaire doit veiller à empêcher les crises générales qui pourraient provenir des effets en chaîne de faillites bancaires sur l’ensemble du système et de l’économie. Mais pour les banques une telle garantie de « nationalisation des pertes » peut réentraîner un mécanisme d’aléa moral.

2ème raison : La titrisation opaque

La façon dont la titrisation a été opérée, avec une démultiplication opaque et spéculative du système est le deuxième facteur d’amplification de la crise financière.

Les banques d’affaires qui organisent la titrisation regroupent des « paquets » de crédits qu’elles mettent à l’actif des véhicules. Elles ont constitué des « paquets de crédits » « subprime », mais aussi des paquets mixtes, mélangeant des crédits subprime avec d’autres crédits hypothécaires, ou avec des crédits destinés à d’autres financements ( par exemple des opérations LBO des fonds d”investissement).

Les LBO ou Leverage Buy Out est un terme généraliste désigné pour toutes les opérations d’acquisitions du capital d’une société qui comporte un effet de levier par l’endettement des acquéreurs, le remboursement de la dette contractée par les acquéreurs s’effectuant par les bénéfices tirés de la société achetés.

Les risques de défaillance de ces « paquets » étaient supposés être inférieurs à ceux des crédits pris un par un. C’est ce qui permet d’obtenir une très bonne notation de la part des agences de notation sur les obligations émises en contrepartie. Mais cela n’est vrai que si les risques pris sur chaque crédit mis dans le paquet sont indépendants les uns des autres.

Or, les risques mis en paquets n’étaient pas indépendants, (on appelle cela « granulaires ») mais interdépendants car tous liés au marché immobilier américain. La baisse des prix de l’immobilier américain a entraîné un effondrement de la valeur des actifs des véhicules.

3ème raison : les tranches

La contagion et l’amplification ont alors tenu à la façon dont ont été construites les obligations souscrites par les investisseurs en contrepartie des paquets d’actifs. Celles-ci ont également été découpées en « tranches ». Certaines tranches comportaient des rendements plus élevés, mais aussi plus de risques, en ce sens qu’elles étaient les premières à être pénalisées si intervenaient des accidents de paiement sur les actifs. Ces obligations ont été en principe souscrites par des fonds d’investissement à risque ( hedge funds).

Des tranches intermédiaires venaient ensuite et des tranches plus sécurisées (dites « senior ») n’étaient pénalisées qu’en cas de dévalorisation générale des actifs, ce qui était supposé ne jamais intervenir. Elles étaient souscrites notamment par des investisseurs plus prudents (fonds de pension ..). Mais l’effondrement des actifs a entraîné même ces obligations dans la débâcle à la surprise de leurs souscripteurs puisqu’il n’y a pas eu d’alerte progressive par une détérioration de la notation.

4ème raison : l’achat à crédit

Facteur supplémentaire, les investisseurs qui ont acheté les obligations n’ont pas tous acheté en payant comptant, mais en s’endettant à leur tour pour bénéficier de l’effet de levier (mesure de gain espéré d’une opération financière par rapport à l’investisseur de base :on parle d’opération à effet de levier) d’un endettement à bas taux d’intérêt.

Ces investisseurs, banques et hedge funds notamment ont opéré en quelque sorte une titrisation au second degré en créant de nouveaux véhicules (appelés cette fois-ci SIV ou « conduits ») dont l’actif a été constitué par des obligations des véhicules de premier niveau et dont le passif a été constitué par du papier commercial à court terme (appelés « Asset Backed Commercial Paper » ou ABCP). Il en a été émis plus de 1000 milliards de $.

On est là dans un mécanisme de « transformation bancaire » consistant à utiliser des ressources à court terme pour effectuer des prêts à long terme.

La régulation et le contrôle des banques et notamment les règles de constitution d’un capital prudentiel en fonction des crédits distribués visent à protéger les épargnants et l’économie contre les risques liés à la transformation et à prévenir les paniques.

Sauf qu’ici, la transformation s’effectuait sur le marché et non dans les banques. Ces véhicules étaient contrôlés par leur créateur sans lui appartenir techniquement. Comme les autres véhicules de titrisation, ils étaient en principe hors bilan. Du coup, les règles communes du contrôle prudentiel bancaire ne leur sont pas appliquées.

 

Source : http://www.finance-etudiant.fr/articles/comment-la-crise-sest-elle-amplifiee.html

 

Resumer: Se document explique comment la crise financiere c’est developer ainsi que comment elle c’est propager vers les 

16 juin 2011

La crise est inevitable

La crise économique mondiale est un phénomène temporel auquel nous ne pouvons rarement échapper. Depuis une décennie, nous avons vécues près d'une dizaine de récession économique lesquelles ont eu d'importantes répercussions au niveau mondiale.

 

Selon Wikipédia, une crise économique est définie comme suit: Une crise économique est caractérisée par un profond retournement de la situation économique d'un pays, d'une nation ou d'une zone géographique plus importante. D'ailleurs, les économistes considèrent qu'un pays est en situation de crise financière et économique lorsque la croissance économique de celui-ci est négative durant deux trimestres consécutifs.

 

Même si aujourd'hui, les plus grand économistes, travaillant au sein d'organismes gouvernementaux, font tous ce qui est dans leur pouvoir pour éviter une déflagration de l'économie, certains facteurs économiques font en sortes qu'il est difficile d'éviter les catastrophes menant vers de potentielles crises économiques.

 

Source :http://crise-economique.com/accueil.html

 

 

Resumer :la crise économique mondial est une chose a laquelle nous ne pouvons échapper. Meme si les plus grand economiste traivail pour les gouvernement il est encors impossible d’eviter une crise.

16 juin 2011

La fin de la crise economique

Par David Servenay 

Il ne fallait pas être déprimé, samedi, pour aller écouter les intervenants d'un colloque sur la crise, au sommet de la Grande Arche de la Défense. Philosophes, économistes ou agronomes : ils dressent tous un tableau apocalyptique. « Nous sommes au bord de l'abîme », résume Edgar Morin. Quel diagnostic formuler ? Comment en sortir ? Revue de propositions.

Joseph Stiglitz est en retard. L'économiste américain, en tournée de promotion pour son dernier livre, a accepté l'invitation d'Eva Joly, figure de proue d'Europe Écologie. À condition que l'étendard du parti ne figure pas sur la tribune. Un drapeau européen le remplace. Au menu, deux questions :

            Crise : comment éviter la rechute ?

            Comment faire naître une nouvelle société ?

Pour Joseph Stiglitz, retour à un niveau d'emploi normal pas avant 2015

Stiglitz commence par un ballet de chiffres effrayants :

            180 milliards de dollars pour renflouer AIG = un quart de siècle d'aide américaine à l'Afrique

            entre 2000 et 2008, les revenus des classes moyennes américaines ont baissé de 4%

            Un Américain sur cinq ne peut avoir un « full-time job » (emploi à temps plein)

Un constat : l'économie est en panne à cause des excès de la finance, de leurs conséquences sur l'emploi et les déficits budgétaires.

 

Source :http://eco.rue89.com/2010/02/13/la-fin-de-la-crise-economique-pas-avant-2015-138287

 

Résumer : lors d’un regroupement d’intervenant (Philosophes, économistes, agronomes) il en est ressortie que les revenu des américain ente 2000 et 2008 a baiser de 4% ainsi que 180 milliard de dollars on été injecter a l’AIG.

16 juin 2011

Quelles sont les causes de la crise financière mondiale ?

Faillites bancaires, des milliards de dollars envolés, une croissance mondiale en berne, des gouvernements impuissants. Le capitalisme financier est en crise. Nicolas Sarkozy a expliqué cette semaine que c'était "la fin d'un monde" sans esquisser des pistes de sortie de crise. Les médias alignent en boucle les chiffres de la crise, les chutes des valeurs boursières, les pertes colossales de certaines banques, sans nécessairement expliquer réellement ce qui est en train de se passer en des termes simples. Mais quelles sont les causes de la crise financière mondiale ?

Etape 1 : La crise financière part des Etats-Unis en août 2007

La crise débute à l'été 2007 à cause des "subprimes", des prêts hypothécaires consentis à la classe moyenne américaine. En temps normal, un particulier qui souhaite acquérir un appartement peut emprunter en fonction de son salaire et de sa capacité à rembourser. Inconvénient du système : l'emprunt est proportionnel au salaire. Si vous ne gagnez pas beaucoup, vous ne pouvez pas emprunter beaucoup, donc vous ne pouvez pas acheter.
Les Américains ont donc créé des subprimes : vous empruntez ce que vous voulez (même si le salaire n'est pas très élevé) mais c'est la maison qui est en garantie. En clair, si vous ne pouvez pas rembourser, la banque récupère la maison et la vend. Mais quand les prix de l'immobilier baissent, les banques paniquent ! Cas de figure classique : un emprunteur ne rembourse plus, la banque décide donc de vendre sa maison et de tout récupérer. Mais comme les prix de l'immobilier ont baissé, la banque perd de l'argent sur la vente. C'est la crise des subprimes : certaines banques qui avaient eu trop recours à ce type de prêt se sont retrouvés dans une situation financière critique. Et plus de 2 millions de personnes se retrouvent ruinées aux Etats-Unis, faute de pouvoir rembourser les emprunts.

Etape 2 : Toutes les banques sont touchées à cause de la titrisation

Pour tenter de limiter les risques de ces crédits d'un nouveau genre, les banquiers ont eu recours à la titrisation. Ils ont transformé ces emprunts en titre sur les marchés boursiers. Concrètement, si un particulier emprunte 1000 euros, il doit en rembourser 1200 euros à la banque avec les intérêts. Pour gagner plus rapidement de l'argent, les banques ont émis des titres de dette, c'est-à-dire un papier donnant droit à ces 1200 euros. Ces titres de dette se sont échangés sur les places boursières.
Quel est l'intérêt pour les acheteurs de ces titres ? Si l'acquéreur achète son titre à 1100 euros, il sait qu'il a la garantie de recevoir 1200 euros. Or, à partir du moment où celui qui doit rembourser l'emprunt pour l'achat de sa maison ne peut plus payer, le titre n'a plus aucune valeur. Ce sont ces montages financiers complexes qui expliquent la chute de la bourse car toutes les banques étrangères, notamment européennes, se sont aperçues qu'elles possédaient des titres de subprime qui ne valaient plus rien. Tout le monde en avait mais personne ne savait vraiment combien.

Etape 3 : Les banques se méfient et ne se prêtent plus d'argent

Dans un premier temps, les banques étrangères se sont voulues rassurantes. En France, le directeur de la BNP a d'abord affirmé que la banque n'avait pas procédé à des placements risqués de ce type. Mais quelques jours plus tard, après analyse, la BNP réalise qu'elle possède des subprimes. Le jeudi 9 Août 2007, la BNP décide de geler la cotation de 3 fonds d'investissement. La panique gagne alors les marchés car plus personne ne se sent à l'abri. A partir de là, les banques vont se méfier les unes des autres et ne plus vouloir se prêter de l'argent entre elles. Cette crise de confiance des marchés interbancaires va entraîner la faillite de certaines banques, malgré l'injection de milliards de dollars de la réserve fédérale américaine. Vous n’avez rien compris ? Passez à l’étape suivante.

Etape 4 : Faute de liquidités, certaines banques sont asphyxiées dès 2007

Pour comprendre comment les banques ont fait faillite dès 2007, il faut expliquer comment fonctionne le système bancaire. Quand vous empruntez 100 000 euros à la Société Générale, celle-ci augmente la masse monétaire de 100 000 euros. Elle crée donc 100 000 euros. Mais pour éviter que la machine à billet ne s'emballe (créer de la monnaie sans contrôle), la Société Générale doit déposer une partie de la somme créée sur un compte de la Banque Centrale Européenne. C'est ce qu'on appelle les "réserves obligatoires". Si le taux de réserves obligatoires est de 1%, la société Générale doit donc déposer sur le compte de la Banque Centrale Européenne 1 000 euros. Ce système là permet à la banque centrale européenne de contrôler la création de monnaie.
Souvent les banques n'ont pas les liquidités nécessaires pour accorder des crédits (le flux entre l'argent déposé par des épargnants et l'argent prêté aux autres n'est jamais équilibré à l'instant T). Elles empruntent donc de l'argent à une autre banque pour pouvoir verser la "réserve obligatoire" à la BCE afin de pouvoir accorder le crédit au client. C'est une pratique courante : les banques se soutiennent et se prêtent de l'argent entre elles. Mais quand il y a une crise de confiance, c'est tout le système qui s'enraye. Pour éviter un effondrement général et des faillites en cascade, la banque centrale "injecte" des milliards, c'est-à-dire qu'elle permet aux banques de récupérer des liquidités à très faible coût.
Malgré cela, certaines banques se sont retrouvées asphyxiées très rapidement : elles ont perdu des sommes colossales avec les subprimes, et elles n'ont pas réussi à poursuivre leur activité de crédit car les autres banques, méfiantes, ont refusé de leur prêter des liquidités pour faire face. De nombreuses banques se sont donc retrouvées dans des situations difficiles : en Grande Bretagne, la Northern Rock a dû être nationalisée, sous peine de disparaître.

Etape 5 : La panique gagne les marchés financiers en 2008

La plupart des économistes pensaient que le gros de la crise était passé début 2008. Une fois que la crise des subprimes est bien identifiée, que les banques ont revendu ces titres à risques, la crise financière était sur le point de se terminer après un dernier soubresaut fin 2007. Mais la crise est repartie de plus belle en février 2008 quand les banques ont arrêté leurs comptes annuels. Les pertes se sont avérées plus importantes que prévu : entre la chute de l'immobilier, la crise des subprimes, les soubresauts de la bourse qui ont fait chuter les cours, les pertes d'actifs se sont montées à plusieurs dizaines de milliards de dollars pour certaines banques. C'est le cas de Citibank, qui était la première banque mondiale jusqu'à cette crise.
Dès lors, la crise financière qui était d'abord une crise bancaire va se transformer en krach boursier. A chaque mauvaise nouvelle ou publication des comptes d'une banque, le titre de la banque chute sur les marchés financiers. Les banques ont alors des pertes colossales, et comme en 2007, peinent à trouver des liquidités. Vue la situation de crise, comme en 2007, les banques ne se font plus confiance et le marché interbancaire se grippe. Certains établissements de crédit ont donc vu leur valeur boursière chuté en quelques semaines. Par exemple, AIG (numéro 1 de l'Assurance) a perdu 45% de sa valeur en une semaine et 79% sur un an. Lehman Brothers, la quatrième banque d'affaires de Wall Street, a perdu 45% de sa valeur en une seule journée et 94% sur un an. Jamais des chutes aussi vertigineuses n'avaient été constatées depuis la crise de 1929.

 

Etape 6 : Tentative de sauvetage à coût de centaines de milliards

Face à ce qui s'apparente à une banqueroute généralisée, les banques centrales et les Etats tentent de venir en aide à tous les établissements les plus fragiles pour éviter des faillites qui auraient des conséquences très importantes sur l'économie réelle. Trois sorties de crise sont exploitées :
1. Les banques centrales injectent de nouveau des liquidités pour que ces banques puissent emprunter. Mais cette solution a des limites : la création monétaire doit être fortement encadrée sinon, il y a un risque très élevé d'inflation. Les prix pourraient s'envoler et accélérer ainsi la propagation de la crise dans l'économie réelle.
2. Les banques centrales volent au secours de certaines banques en récupérant à leur compte les titres dépréciés, comme les subprimes. C'est ce qu'a fait la banque centrale américaine en mars pour sauver la banque d'investissement Bear Stearns. La banque centrale américaine a récupéré 29 milliards d'actifs toxiques (dépréciés et peu surs) et facilité la reprise de Bear Stearns par une autre banque JP Morgan. Là encore, cette solution a des limites. La banque centrale américaine ne peut effacer d'un seul coût des milliards de perte pour chaque banque en difficulté.
3. Le gouvernement américain tente de sauver certains établissements pour éviter un effondrement de tout le système bancaire. Par exemple, Freddie Mac et Fannie Mae, deux géants américains du crédit hypothécaire, ont été placés sous la tutelle du gouvernement. Le trésor américain va dépenser 200 milliards de dollars pour sauver ces deux établissements. Seulement, le gouvernement américain ne peut sauver toutes les banques en difficulté : d'abord parce que cela coûte des milliards de dollars aux contribuables, et ensuite parce que cela donnerait de très mauvais signes aux marchés financiers, qui auraient l'impression de bénéficier d'une certaine impunité. A quoi bon assainir le système si les Etats sont prêts à aider toute le monde à coût de plusieurs centaines de milliards de dollars ? Voilà pourquoi le Trésor américain a refusé de voler au secours de la banque Lehman Brothers, qui a donc fait faillite.

Source : http://www.politique.net/2008092703-quelles-sont-les-causes-de-la-crise-financiere-mondiale.htm

 

Resumer: Cette crise economique peu s’expliquer par plusieur causes.

Pour commencer un nouveau systeme de pret immobilier est apparu en 2007 appeler subprimes. Ensuite se syseteme c’est effondra a cause de la chute de l’immobilier.

Puis pour redresser cette situation ils ont transformer ces subprime en tritre a echanger sur les place bouriere sauf que de nombreu titre ne valait plus rien.

Par la suite une réaction en chaîne se produit, les baque ne prete plus d’argent, vue que les banque n’on plus d’argent certaine sont asphixier. Pour rattrper sa l’etats injecte des millions.

 

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